VISION MACABRE (Les enquêtes de Pippa t. 6) (2022)

ALERTE Cosy crime ! Sixième aventure de notre enquêtrice de charme, Pippa, après "CASINO FATAL", "MORPHINE SUSPECTE", "NOEL MORTEL", "LECTURE A RISQUE" et "OUBLI FUNESTE" !

Pippa est une jeune femme pétillante et plantureuse, accessoirement aide-soignante le jour, et qui ne peut s'empêcher de jouer les détectives le soir.

Par une belle journée, un corps sans vie est découvert sur la plage de la jolie ville côtière. Pas de trace de violence, l'homme est mort d'un infarctus. Pourtant, le lieutenant Phil, ami d'enfance et partenaire de notre héroïne, est perplexe : que faisait cet homme tout seul, à cet endroit-là, et à cette-heure-là ?
Avec sa complice préférée, il va se lancer dans une enquête aux indices maigres et aux chemins sinueux.

EXTRAIT :
" Le plus souvent possible, Phil demandait à son amie de poser des hypothèses, de façon à exercer sa perspicacité policière.

- Je constate d’abord qu’il y a beaucoup trop d’« accidents » mortels dans cette ville.
- Tu sais que nous avons énormément de passage, ici, et beaucoup de touristes, des gens de partout. On s’amuse, on boit, on sort, on se lâche un peu trop, parfois. C’est la cause de nombreux évènements tragiques. Mais ne détourne pas le sujet, s’il te plaît, un peu de respect pour cet homme.
- Oui, pardon. Alors, voyons, je dois soulever ce drap, c’est bien cela ?
- Ah, j’ai compris ! Tu essaies d’éviter l’observation du corps. Tu sais bien qu’il est impossible de mener une enquête sans cela. Et puis, cette fois-ci, il n’a pas de blessures apparentes, tu peux y aller.

Pippa prit une grande inspiration, pour se donner du courage. Elle n’aimait pas ce moment, lorsqu’il fallait regarder la victime pour « s’imprégner de la scène », comme disait Phil. En tant qu’aide-soignante, elle en avait pourtant vu, des choses, mais rien n’y faisait, les morts violentes en dehors du « cocon » de l’hôpital la remuaient toujours. Elle se baissa, et découvrit lentement le corps. Le lieutenant n’avait pas menti, il n’y avait pas de trace de violence, l’homme paraissait presque endormi."