Une servitude volontaire: 1. Kidnappée et soumise de Ana Paola

Dans la lignée de "Cinquantes nuances de soumision" du même auteur.
Extrait :
"(...)Maîtresse Adèle serra la tête de sa nouvelle esclave entre ses mains. Le pierceur reprit son crayon et pointa minutieusement les narines et le septum d'Easy Isi. Il prit une autre pince spéciale à trois branches mais dont une est ouverte sur le bout, celle du centre. Il serra la pince et Easy Isi gémit de nouveau. Easy Isi poussa un cri vite réprimé lorsqu'elle vit la longue aiguille que son bourreau présenta à ses yeux avec un sourire sadique.
Il plaça l'aiguille sur la narine droite et transperça celle-ci, puis il pointa le septum et positionna un labret puis poussa l'aiguille pour percer le cartilage. Il continua pour passer l'aiguille dans la narine gauche. Easy Isi s'arc-bouta sous la douleur. Le pierceur passa alors une tige dans l'aiguille puis retira celle-ci. Il fixa un anneau à chaque extrémité de la tige pour la bloquer à chaque narine. Maîtresse Adèle se plaça devant Easy Isi et regarda son esclave. Elle examina son nez. Satisfaite du résultat, elle demanda au pierceur de continuer.
« Passons maintenant aux choses sérieuses. Tu vas être belle avec cela, bandante même ! »
Le pierceur prit le téton droit d'Easy Isi, l'étira et le vrilla sous ses doigts. La nouvelle esclave se crispa sous ce traitement Il pointa son crayon à la base du téton, il reprit sa pince. De nouveau, Easy Isi vit une aiguille s'approcher d'elle. L'homme la regarda un instant dans les yeux et enfonça l'aiguille au travers du téton. Un nouvel anneau venait d'être posé. Il fit de même avec le téton droit.
(...)
Le pierceur fit donc son office pour les demandes de Maîtresse Adèle.
Les lèvres du sexe d'Easy Isi furent ornées de trois anneaux chacune et le capuchon d'un seul anneau.
Isi « Easy Isi » était tremblante et exténuée par les multiples perçages qu'elle venait de subir ; son corps n'était que douleur.(...)"
Ce récit reste toutefois une œuvre de fiction et de fantasmes et n’est en AUCUN cas une incitation...
Faire vivre cette fiction exposerait à de longues années de prison ceux qui s'y risquerait...